impulsion no. 4 – septembre 2024

MOT D’ACCUEIL
L’acceptation tacite n’est pas une options.

POUR DIEU, POUR ISRAËL
Recontre avec Olivier Henri Udriot, converti à Yeshuah.

VOTATION POPULAIRE DU 22 SEPTEMBRE 2024
Non à l’initiative sur la biodiversité Oui à la Réforme de la LPP

RÉFÉRENDUM ESC
Réponses aux questions du «NZZ am Sonntag»

LA PAROLE DU MOIS

«ILES, ÉCOUTEZ-MOI! PEUPLES LOINTAINS, SOYEZ ATTENTIFS! L’ETERNEL M’A APPELÉ DÈS MA NAISSANCE, IL M’A NOMMÉ DÈS MA SORTIE DES ENTRAILLES MATERNELLES.»
Ésaïe 49:1

votation populaire

UDF-INTERNE

11 ans après, l’UDF revient à Neuchâtel

Contexte de la réactivation

Au mois d’août 2013, la section neuchâteloise de l’UDF, au demeurant la plus vieille section romande du parti, est mise en veille faute de membres actifs. Dix ans plus tard, Cyril Leuba, membre du parti depuis quelques années décide de présenter sa candidature pour les élections au Conseil national. Après un résultat tout à fait honorable compte tenu du contexte cantonal, il décide de voir s’il est possible de tirer parti de la dynamique créée au sein des membres du canton.

INTERVIEW
Quatre questions à Marc Früh

Agenda

Le Café Politique sur le thème des votations du 22 septembre 2024 à 19h30 à Espace Lumen à la rue des Buis no 9. Les mercredis 4 septembre et 6 novembre.

L’Eurovision n’a pas lieu à Genève. Dieu merci. Pas de stands mais nous vous proposons une sortie au beau Château de Prangins VD pour l’exposition : «Anne Frank et la Suisse» pour le dimanche 29 septembre 2024. Bienvenue à tous. S’inscrire et infos Sylvie RG 022.751.20.23.

Assemblée des délégues: Samedi 12 ocobre 2024 à Olten.

Prière sur zoom avec le groupe Muraille 2 fois par mois. Renseignements: Philippe Karoubi 078 715 98 01, philippe.karoubi@udf-suisse.ch

Lorsque la nuit tombe sur la France

Article supplémentaire

En cette soirée du 26 juillet, nombreux sont ceux qui se sont retrouvés devant leur téléviseur pour regarder la cérémonie d’ouverture des JO de Paris. Le beau temps régnait sur toute la France, sauf sur la capitale où la pluie menaçait et finit par tomber violemment. Coïncidence ? Peut-être. Toujours est-il que le spectacle, censé mettre en avant les valeurs du pays organisateur, a laissé un goût amer et une véritable envie de vomir.

Paris, à cause de la richesse de son histoire, de ses musées et de ses lieux mythiques, avait été épargnée par les nazis entre 1940 et 1944. On aurait pu imaginer un spectacle à la hauteur de cette renommée. Pourtant, Thomas Jolly, le directeur artistique de l’événement, soutenu par les plus hautes autorités de l’État, a préféré offrir, aux télévisions du monde entier, sa vision incarnant un universalisme queer.

Jusqu’à quand devrons-nous supporter cette propagande homosexuelle, trans et queer qui devient obsessionnelle, imposée sans aucune considération des différences qu’elle prétend vouloir gommer ?

La plupart des 12 tableaux présentés n’étaient finalement que des odes aux idéologies déviantes de notre société post-moderne.

Un étrange personnage au visage dissimulé, digne figuration de la mort, survolait les toits de la ville, comme marquant son territoire de son empreinte morbide, entraînant dans sa course des enfants, ensorcelés comme ceux de Hamelin.

Par cette série de séquences toutes aussi wokes, LGBT ou violentes les unes que les autres, la France a décidé de s’affranchir définitivement de ses racines judéo-chrétiennes.

Marie-Antoinette, cruellement décapitée par la fronde révolutionnaire, est de nouveau humiliée en apparaissant aux fenêtres de la Conciergerie, portant sa propre tête et chantant “ça ira” dans une éclaboussure de sang.

Une longue scène de défilé, étrange, est bordée de dragqueens et autres personnages déviants, qui entrent en transe au passage des participants. Tout ceci voulant exprimer, encore une fois, tous les modèles sexuels, y compris la pédophilie.

Un cheval mécanique, de couleur pâle, chevauchée de sa déesse, remonte la Seine comme si la mort qu’il symbolise venait conquérir toute la ville et, à travers elle, la France entière.

Un autre tableau, parodiant la dernière Cène de Léonard de Vinci, rassemblait également trans, dragqueens et même un enfant. Que veut-on montrer par cette caricature, sinon la volonté de piétiner la foi chrétienne sans retenue ?

Et, non content d’avoir déjà écœuré 2 milliards de spectateurs, on suit ensuite trois personnes jusque dans l’intimité d’un appartement, explicitant la fin du couple naturel et biblique.

Les 122 millions d’euros dépensés par un État déjà surendetté n’auront servi qu’à flatter l’orgueil démesuré d’un président fier d’avoir cassé son pays, humilié sa population et attiré sur lui une terrible malédiction.

Il n’y a rien de drôle ou d’artistique derrière toute ces clameurs sinon le son sinistre du glas annonçant la fin d’une civilisation.

Philippe Karoubi, membre du comité de direction

Recommandations pour la votation du 24 novembre2024

Droit du bail : sous-location

Droit du bail : résiliation pour besoin propre

Financement des prestations de santé


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